BAROQUE NEWS

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Un site dédié aux compositeurs baroques, Haendel et Vivaldi en particulier.

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NEWS 2024




➡️ SAINT-MICHEL EN THIERACHE       Catherine Trottmann & Marina Viotti 30.VI.2024  

Deux somptueux récitals 

          Tous les ans, le festival de Saint-Michel en Thiérache jouit d’une programmation à se damner. Difficile de choisir l’un des cinq dimanches proposés. Après la venue exceptionnelle de Malena Ernman que l’on pensait définitivement sortie du circuit en ouverture du festival, c’est le dimanche 30 juin que se produisaient deux fabuleuses chanteuses lyriques : la soprano Catherine Trottmann et la mezzo-soprano Marina Viotti, accompagnées de deux ensembles pas moins fabuleux, en l’occurrence Il Caravaggio sous la direction de la claveciniste Camille Delaforge et Les Musiciens du Louvre sous la baguette de Marc Minkowki. Toutes deux se produisaient dans un  programme presque exclusivement consacré au roi du baroque Georg Friedrich Haendel. Les amateurs de sensations fortes et de montagnes russes des sentiments n'auront pas été déçus de voyager dans cet univers où les passions et les sentiments sont délicieusement exacerbés. . .  

➡️ HARDELOT Midsummer Festival 20-29.VI.2024  

Un programme de haute volée avec des surprises

          Chaque année, fin juin, le château d'Hardelot célèbre l'arrivée de l'été au son de la musique baroque. Ce festival au nom poétique inspiré par Shakespeare et sa pièce A Midsummer Night's Dream explore les liens musicaux qui unissent la France et la Grande-Bretagne. Il se déroule au sein du magnifique théâtre élisabéthain en bois édifié au pied des murailles du château et accueille les plus brillants artistes de la scène baroque actuelle dans une ambiance conviviale, détendue et d'amour pour la musique en général. Poursuivez la lecture ici

affiche du Midsummer Festival du Château d'Hardelot 2024
scène de L'Olimpiade de Vivaldi au Théâtre des Champs-Elysées

➡️ PARIS 20.VI.2024   Des Olympiades aux résultats inégaux 

                    L’occasion était trop belle pour la manquer. Aussi le Théâtre des Champs Elysées a-t-il programmé ses propres Jeux Olympiques à quelques jours de l'ouverture des Jeux de Paris, avec l’opéra L’Olimpiade de Vivaldi, dans un spectacle imaginé par Emmanuel Daumas. Un décor de salle de sport avec testostérone, biceps et entraînements intensifs à profusion. Des athlètes survitaminés réalisent des figures techniques spectaculaires. En parallèle, le spectateur se retrouve au cœur de la Grèce Antique et ses créatures légendaires : le Minotaure, la pythie de Delphes… Difficile de suivre le lien de ces thématiques. D’autant que les costumes n’aident pas vraiment à clarifier les choses.  

➡️ VERSAILLES Mozart L'enlèvement du sérail 22.V.2024  

Un conte digne des 1001 nuits 

          Spectacle entre rêve et réalité, entre bande dessinée et réalisme. Le spectateur passe aisément de la légèreté du conte des Mille et une Nuits d’Aladin et son tapis magique à des sujets plus brûlants actuels : le harcèlement de la femme et sa soumission à l’homme, la femme moderne qui se rebiffe et revendique sa liberté. L’homme macho est tourné en dérision. C'est une ode à la liberté. 

          Les couleurs sont chaudes et multiples tout comme les costumes flamboyants des choristes. Les décors sont simples et ingénieux à la fois. Belmont cherche le moyen de franchir la haute muraille des jardins du palais de Bacha dans lequel sa belle est emprisonnée. Une muraille qui prendra la forme d'un pont, celui du pont des soupirs peut-être, une fois que ses arches auront été élégamment ajourées. .  

scène de L'Enlèvement du Sérail à Versailles
Berenice : Sandrine Piau

➡️ PARIS 21.V.2024   La très rare Berenice de Haendel enflamme le Théâtre des Champs-Elysées 

                    En ce mardi 21 mai 2024, le Théâtre des Champs-Élysées proposait une rareté haendélienne : l’opéra Berenice. Oeuvre  négligée, certainement pour son écriture inégale : certains passages frisent l’ennui quand d’autres réservent de très jolis moments de musique, le tout au cœur d’un imbroglio politico-amoureux. 

          L’ensemble Il Pomo d’Oro en proposait sa vision en version de concert rehaussée par une distribution de haut vol dans laquelle la jeune génération côtoyait l’ancienne. Le contre-ténor montant Paul-Antoine Bénos-Djian incarnait un Demetrio idéalement vibrant d’émotion, à la fois touchant et vindicatif, tandis que la mezzo-soprano Arianna Vendittelli enflammait la scène par son incarnation incandescente d’Alessandro, un romain épris de Berenice. Chacune de leurs interventions a été marquante. 

➡️ LUCERNE Vivaldi Giustino 02.V.2024  

Giustino et son divin psaltérion 

          Un mariage particulièrement festif vire exsangue suite à une déclaration de guerre. Voilà comment commence le spectacle imaginé par Markus Dietz et son équipe. La couleur blanche vire au rouge et la perfection d’un décor immaculé subit une destruction progressive. Le tout dans un imbroglio politico-amoureux plein de rebondissements. Le spectateur suit avec une certaine aisance les péripéties qui sont assez fidèles au livret de l'opéra de Vivaldi. Une fois n’est pas coutume, les protagonistes ne sont jamais livrés à eux mêmes et le spectateur profite d’une belle direction d’acteurs.  

Marcela Rahal, Giustino
Serse : Natalya BOEVA

➡️ AUGSBOURG 27.IV.2024   Serse de Haendel : tentative baroque mitigée 

                    Comme nombre de théâtres allemands, l’opéra d’Augsbourg possède sa propre troupe de chanteurs lyriques. Dans sa formation, elle s’efforce d’interpréter tous les répertoires. Aussi, les organisateurs ont-ils eu l’idée de monter un spectacle baroque en prenant une œuvre connue de Georg Friedrich Haendel, en l’occurrence Serse. Le choix s’est certainement porté sur cet opéra pour sa partition peu vocalisante (sauf le rôle-titre) au regard des autres opéras du Caro Sassone. Le rôle d’Arsamene par exemple ne présente, à priori, que peu de difficultés. 

Nicholas McGegan (Deborah)
Amanda Forsythe (Deborah)
Samuel Marino (Sarrasine)
Anna Dennis (Il Trionfo del Tempo e del Disinganno)
Sarah Rombergers 9 airs allemands)

➡️ GÖTTINGEN Festival Haendel 13.IV.2024  

Grandiose Deborah 

          Deborah, oeuvre monumentale et très rarement programmée. Aussi, BAROQUENEWS ne pouvait manquer cette occasion unique de s'en faire l’écho. 

Un double événement, avec le retour de Nicholas McGegan dans la ville où il a si longtemps oeuvré en tant que directeur artistique. D'ailleurs, dès son entrée sur scène, le public lui a réservé un accueil des plus enthousiastes. Et le chef le lui a bien rendu car il est loin d'avoir perdu la main. Nous pouvons même dire qu’il a su enflammer l’œuvre par son sens du drame et nous faire vibrer tout au long d'un récit biblique qui se termine par l'exécution du tyran Sisera par la main de Jael. Elle  feint de le recueillir et le cacher chez elle. Pendant son sommeil, elle lui clouera la tête à l’aide d’un pieu et d’un marteau ! Un récit qui n´est pas sans rappeller la Juditha Triumphans de Vivaldi. 

➡️ GÖTTINGEN Festival Haendel 10.V.2024  

Sarrasine : Un spectacle surprise 

          La mystérieuse création Sarrasine a enfin dévoilé ses secrets en ce jour de première au Deutsches Theater de Göttingen. En effet le programme du festival avait laissé plus d’un spectateur perplexe et dubitatif cette année face à une proposition restreinte, a priori moins alléchante pour ne pas dire moins ambitieuse qu’à son habitude, dont ce spectacle Sarrasine. Un pasticcio d’airs pour la plupart inédits (des airs alternatifs, écrits pour des reprises, pour des chanteurs en particulier, etc…) qui aura aiguisé les papilles des passionnés. Et ils n’auront pas été déçus. Certains airs ont fait sensation et les découvrir en live demeure une émotion particulièrement savoureuse. Le choix d’un livret français aura pu rebuter ou du moins intriguer certains.  

GÖTTINGEN Festival Haendel 09.V.2024  

Trionphal Trionfo del Tempo 

          Titre, certes facile mais tellement réaliste : un concert de haut vol par sa distribution mais surtout par sa direction. En effet, George Petrou sait souffler le chaud et le froid comme personne. Un tremblement de terre voire un tsunami semble vous submerger par moments. Les instruments solos sont de toute beauté en plus d’être touchants comme la partie d’orgue exécutée avec jubilation et maestria par Fernando Aguado ou le violon si sensible d’Elizabeth Blumenstock qui a terminé l’oratorio seule, perchée sur un tabouret au bout d’une plateforme devant un parterre de spectateurs en larmes. 

GÖTTINGEN Festival Haendel 17.V.2024  

Les 9 airs allemands : Haendel en toute simplicité 

          Concert sans prétention et un Haendel en toute simplicité. Quatre instrumentistes et le chef claveciniste Olivier Fortin forment l'Ensemble Masques pour porter la voix de la mezzo-soprano Sarah Romberger dans un cadre intimiste, celui de l’église St. Paulus de Göttingen. Une balade bucolique au travers des pièces instrumentales de Telemann et de Bach entrecoupées par le cycle de 9 airs allemands de Georg Friedrich Haendel, appelé 'Neun Deutsche Arien'. 

➡️ KARLSRUHE Festival Haendel II & III.2024  

Julia Wischniewski soprano Mélodie Ruvio alto Bastien Rimondi ténor Matthieu Walendzik basse

➡️ LUXEMBOURG     08.II.2024   Joyaux sacrés de Mozart et Haydn : une flamboyante interprétation sous la houlette du chef William Christie. 

                    Couplage fort intéressant que celui imaginé par les forces combinées du choeur des Arts Florissant et du Luxembourg Philharmonic : les Vêpres solennelles d’un Confesseur de Wolfgang Amadeus Mozart et Les sept paroles du Christ sur la Croix de Joseph Haydn. Deux œuvres sacrées, écrites presque simultanément. La première flamboyante à la gloire du Seigneur. La seconde, douloureuse, nous fait vivre les derniers instants de vie du Christ. Deux œuvres complémentaires mises en miroir ou en tension pour mieux souligner les différences et accointances stylistiques. 

          En abordant ces œuvres de la période classique, sensiblement proches du baroque, le Luxembourg Philharmonic sort de sa zone de comfort et réalise une interprétation raffinée, spectaculaire et émouvante à la fois sous l’égide du chef William Christie, spécialiste de musique baroque. Une combinaison gagnante, magnifiée par les interventions magistrales du chœur des Arts Florissants. A la puissance jubilatoire du troisième mouvement des Vêpres de Mozart s’oppose la fragilité et la douleur insufflée dans cette passion du Christ et qui ont saisi les spectateurs de la Philharmonie de Luxembourg.

➡️ PARIS GARNIER        25.I.2024     Un Cesare de bonne facture mais sans passion.

                   Reprise du spectacle de Laurent Pelly au Palais Garnier en ce début d'année. L'opéra Giulio Cesare de Georg Friedrich Haendel, dans lequel le contre-ténor Lawrence Zazzo et la soprano Nathalie Dessay, dans les rôles principaux, s’étaient distingués en 2011. Un spectacle qu'il est d'ailleurs possible de retrouver sur dvd. 

          L’opéra prend place dans les réserves d’un musée, dans lequel, statues et œuvres prennent soudain vie. Un procédé simple mais qui va permettre au spectateur d'être propulsé, d'un seul coup, en l'an 40 avant Jésus Christ et de revivre la fascinante aventure de Cléopâtre et Jules César, affublés de leurs costumes d'époque : toges, armures, boucliers, etc... Les techniciens et ouvriers du musée vont et viennent sur scène en déplaçant statues, toiles de maîtres et autres œuvres d'art. Ils n’ont pas conscience du drame qui se déroule à leur insu et vice versa. On apprécie alors les touches d’humour qui ponctuent tout le spectacle: les statues qui chantent, Cleopatra qui bloque un chariot que les ouvriers ne parviennent plus à pousser sans en comprendre la raison, les traces de doigts ou de mains qui apparaissent soudainement sur des vitrines à peine finies d'être nettoyées ce qui agace des ouvriers perplexes, Cleopatra poussée sur un diable, etc… On s’en amuse et l’on en rit de bon cœur. Le décor impressionne par sa monumentalité (la gigantesque statue couchée de Toutânkhamon sur laquelle Cleopatra fait une entrée magistrale) et le passage à des décors et costumes type XVIIIe siècle au deuxième acte plaît. Certes, la mise en scène imaginée par Laurent Pelly fonctionne plutôt bien, mais passée la moitié de l'opéra, l’ennui nous gagne, lassés de la redondance d’un spectacle qui a du mal à se relancer, à offrir de nouvelles idées et surtout qui manque cruellement de drame théâtral.

          Côté distribution, ...

Lore Binon, soprano

Ensemble Lingua Franca

➡️ NAMUR     18.I.2024   Lore Binon, folies italiennes

          L’ensemble Lingua Franca proposait un florilège de pièces lyriques et instrumentales baroques au Grand Manège de Namur en ce jeudi 18 janvier 2024. Il mettait à l’honneur des compositeurs italiens tels que Vivaldi, Scarlatti, Caldara, Handel, Sammartini ou encore Corelli. Handel n’était pas italien bien entendu mais son passage en Italie et ce qu’il y a composé a été déterminant pour le restant de sa carrière. 

           Contrairement à son titre: ‘Folies italiennes’, le programme ne s'est pas révélé si ‘fou’ que ça (on aurait pu s’attendre à des pieces ou des personnages empreints de démence telle la cantate de Haendel ‘Delirio amoroso’…). Comme le flûtiste et hautboïste Benoît Laurent l’expliquait au public namurois, le programme met plutôt en exergue le style baroque italien et ses changements de rythmes, ses irrégularités, ses passages inattendus. La sonate pour clavecin de Domenico Scarlatti en a été le parfait exemple avec son style ibérique qui relève presque du flamenco : on pouvait entendre les castagnettes dans le jeu fascinant de virtuosité du claveciniste Koneel Bernolet.

          Quatre musiciens accompagnaient la divine soprano Lore Binon et chacun d’eux a pu se distinguer et démontrer son talent : le violoniste Jacek Kurzydlo a su enflammer la Folia de Corelli. Tube baroque absolu, lui et ses complices ont su faire swinguer ses contrastes ainsi que ses rythmes infernaux. Benoît Laurent, quant à lui, a marqué la soirée par chacune de ses interventions. Sa virtuose aisance au hautbois comme à la flûte a bluffé le public, notamment dans la pièce introductive à ce concert : la sonate en la mineur de Giuseppe Sammartini qui nous a fait passer par toutes les émotions : douceur, tendresse, liesse… Quant à Mathilde Wolfs, violoncelliste émérite, son jeu de variations dans l’air de Caldara ‘Pompe inutili’ nous a particulièrement touché. D’ailleurs cet air tiré de l’oratorio ‘Maddalena ai piedi di Cristo’ aura certainement été le highlight de la soirée. Véritable prière, la voix délicate et suave de Lore Binon nous a presque tiré les larmes. D’une manière générale, sa voix uniforme et claire, son timbre charmeur, la clarté du texte et son expressivité ont eu raison des diverses pièces ’amoureuses’ du programme : les élans enflammés et désespérés d’Ergasto dans la très rare cantate de Haendel ‘Languia di bocca lusinghiera’ ou bien les deux airs de Daphné qui tente de résister aux avances lascives du Dieu Apollon. 

Pour clore ce programme du baroque tardif, l’ensemble Lingua Franca a remercié le public de son enthousiasme en lui offrant le divin ‘Domine Deus’ tiré du Gloria de Vivaldi dans une version inédite : une partie de violon en supplément afin que tous soient réunis pour cette dernière pièce. Du pur bonheur.

                                         Ruggero Meli

➡️ HEIDELBERG 09.XII.2023 Graun fête la nativité avec le Bachchor

➡️ GAND 26.XI.2023 : Concert champêtre matinal

➡️ POTSDAM SANSSOUCI 20.XI.2023 : Deux contes que tout oppose mais qui finissent par fusionner dans une mise en scène captivante : WEIR Blond Eckbart et HAENDEL Acis und Galatea

➡️ BERLIN 18.XI.2023 : Mitridate survolté

➡️ PARIS 17.XI.2023 : Soirée napolitaine à la salle Gaveau

➡️ PARIS 16.XI.2023 : Feu d'artifice vocal à l'Auditorium du Louvre

➡️ VIENNE 27.X.2023 : Theodora sauvée par les décors

➡️ BARCELONE 26.X.2023 : Brillant Aci, Galatea e Polifemo

➡️ ROME 20-21.X.2023 : Gala des 3 contre-ténors & Giulio Cesare

➡️ LONDRES 12.X.2023 : exquise découverte, la soprano Nardus Williams

➡️ PONTOISE FESTIVAL 08.X.2023 : la soprano Appoline Raï-Westphal, jolie découverte

➡️ AMBRONAY FESTIVAL - weekend n°4 06-07.X.2023 : Dernier week-end dans le recueillement !

➡️ PARIS 02.X.2023 : William Christie et son équipe donnent un coup de jeune à Ariodante

➡️ LONDRES 21.IX.2023 : Amadigi enflamme Saint Martin-in-the-Fields

➡️ HAMBOURG 14.IX.2023 : Saul mitigé

➡️ BAYREUTH BAROQUE FESTIVAL - weekend n°1 08-10.IX.2023 : 3 récitals et un opéra étincelants !

➡️ FÉNÉTRANGE : Un Stabat Mater de Pergolèse frais et touchant le 16 septembre 2023 à la collégiale Saint Rémi

➡️ COLOGNE 03.IX.2023 : Un Acis and Galatea au cordeau.

➡️ COLOGNE 20.VIII.2023 : Dame Emma Kirkby, des retrouvailles émouvantes.

➡️ GLYNDEBOURNE 26.VII.2023 : Semele, la baba cool

➡️ MUNICH 23.VII.2023 : Démente Semele à Munich

➡️ COLOGNE 17.VIII.2023 : Steffani La Lotta di Ercole

➡️ SALZBOURG 09.VIII.2023 : Orfeo à fleur de peau

➡️ INNSBRUCK, FESTIVAL DE MUSIQUE ANCIENNE VIII.2023 : Vivaldi mis à l'honneur

➡️ LUXEUIL LES BAINS 23.VII.2023 : Émotion au festival Musique et Mémoire

➡️ NAMUR 06.VII.2023 : Une Theodora à écouter agenouillé

➡️ FROVILLE Festival du 03.VI au 09.VII.2023

Quatre récitals de grande qualité : Marie Lys, Max Emanuel Cencic, Blandine De Sensal et Valer Sabadus.

➡️ HARDELOT Midsummer Festival 24-25.VI.2023

Une expérience unique

➡️ HALLE Festival Haendel - weekend n°1 26-29.V.2023 : 7 concerts d'exception !

➡️ GÖTTINGEN 19.V.2023 : Une Semele bien légère

➡️ GÖTTINGEN 18.V.2023 : Hercules ouvre le festival de toutes ses forces

➡️ BERLIN 07.V.2023 : Jephtha tronqué

➡️ WINTERTHUR 14.V.2023 : Serse, complètement psychédélique

➡️ COLOGNE 6.V.2023 : Fantasque Giulio Cesare

➡️ LYON 5.V.2023 : Fascinant Trionfo à l´auditorium de Lyon

➡️ FRANCFORT 30.IV.2023 : Hercules minimaliste et avare

➡️ LONDRES 24.IV.2023 : Emily D'Angelo flamboyante

➡️ MADRID 23.IV.2023 : Divin Tolomeo

➡️ PARIS 20.IV.2023 : Ariodante réduit au concert

➡️ MONTE-CARLO 16.IV.2023 : Un Barbier au cinéma

➡️ LUXEMBOURG 17.IV.2023 : Le chef Gardiner transcende la Messe en si de Bach

➡️ LUCERNE 15.IV.2023 : Alcina déconstruite

➡️ BADEN BADEN 8.IV.2023 : Triomphant Trionfo !

➡️ HARDELOT 23.VI - 01.VII.2023 : Une palette musicale baroque franco-anglaise

➡️ ANVERS 30.III.2023 : une Theodora à en fermer les yeux

➡️ KEMPEN 26.III.2023 : Dmitry Egorov, un contre-ténor génial mais tout en discrétion. Music for a while

➡️ VERSAILLES 25.III.2023 : Le très rare Poro de Haendel enflamme la Grande Salle des Croisades

➡️ NANCY 21.III.2023 : Iphigénie en Tauride : dans la peau d'une enquêtrice

➡️ LUXEMBOURG 22.III.2023 : Julia Lezhneva triomphe dans Cosi fan tutte

➡️ BEAUNE FESTIVAL BAROQUE & ROMANTIQUE JUILLET 2023 : Une programmation pas très enthousiasmante

➡️ PARIS THEATRE DES CHAMPS ELYSEES SAISON 2023-2024 : De beaux concerts en perspective

➡️ INNSBRUCK FESTIVAL 11.VII - 29.VIII.2023 : Vivaldi à l'honneur !

➡️ LONDRES 18.III.2023 : le très rare Scipione clôturait le Festival Haendel

➡️ FERRARE 17.III.2023 : Catone de Vivaldi, court mais efficace

➡️ METZ 15.III.2023 : Un Mendelssohn survolté

➡️ ROUEN 12.III.2023 : Serse réduit à une histoire d'ados affligeante mais sauvé par l'orchestre

➡️ KARLSRUHE II.2023 : Marée haute et marée basse pour le festival Haendel

➡️ FRANCFORT 10.III.2023 : Un spectacle à l'esthétique séduisante mais sans direction

➡️ BONN 9.III.2023 : une Agrippina bien mitigée

➡️ FROVILLE 2023 : Rien de bien passionnant

➡️ METZ 5.II.2023 : God save the King!

➡️ TEL AVIV 19 & 21.II.2023 : superbe ARIODANTE

➡️ VIENNE 22.II.2023 : BELSHAZZAR ou la pénurie d'eau

➡️ DETMOLD 3.III.2023: SERSE, une grande réussite !

➡️ GÖTTINGEN V.2023 : Moins de concerts mais une splendeur !

➡️ PARIS 28.I.2023 : un gala Mozart éblouissant

➡️ TOURS: Trois concerts d'exception

➡️ FÉNÉTRANGE : Sage récital d'Eva Zaïcik le 9 septembre 2022 à la collégiale Saint Rémi

➡️ BÂLE: Des cantates de Haendel prennent vie